Allez hop, le vide-greniers a encore frappé !
Visez-moi la mignonnitude de cet ouvrage <3
Une fois essayé, le charme a opéré : j'en suis tombée absolument amoureuse. En plus, avec ses motifs floraux qu'on dirait des marguerites (moi parler bien le français), il est pile poil dans la tendance. Bref, encore une jolie trouvaille qui garnit ma penderie pour une bouchée de pain. Comme toutes ces jolies trouvailles que j'ai faites dans des vide-greniers ces dernières semaines, en fait. Rapport au fait qu'il y a des vide-greniers tout le temps et que je me sens comme OBLIGÉE d'y aller. C'est presque un devoir. Un gros déballage de fringues vintage et pas chères juste à côté de chez moi ? Rooh, mince alors, moi qui comptais tranquillement mettre de l'ordre dans ma penderie et faire du tri dans mes vêtements (non), je vais encore devoir m'y coller !
D'ailleurs, à propos de penderie, je vais me confier un peu. Je commence à avoir un problème de cintres. J'en manque cruellement. De toute façon, je n'ai pas la place d'en rajouter. Je me retrouve contrainte de poser des fringues orphelines de cintres en vrac par-dessus celles qui en ont un, les veinardes. C'est une lutte acharnée. Le jeu du cintre musical. Un habit au sale ? Sûr qu'à son retour, son cintre sera squatté. Manouche style. Bon, déjà, faut voir la gueule de ma penderie. Non, en vrai, j'en suis trop fière, c'est du système D qui en jette. Je pourrais presque en faire un DIY, tiens ! Je vous livre mon secret : deux barres de rideau de douche à 5 €, tendues dans un renfoncement de mur. Une en haut, l'autre en bas. Hop, deux portants astucieux et costauds ! Même pas besoin de bricolage.
Au moment de la confection de cette penderie (une minute montre en main, donc), j'avais pris de bonnes résolutions : fini, les cintres dépareillés ! Désormais, j'aurai une penderie uniforme et tous les habits au même niveau, les crochets des cintres tous tournés dans le même sens, me disais-je. J'avais donc fait une razzia de cintres à La Foirfouille, de beaux cintres en bois gris. C'est bien simple : j'avais pris TOUS les cintres en bois gris du rayon. Soit des dizaines et et des dizaines. La caissière avait dû me prendre pour une... cintrée ! (ha-ha-ha) Et aujourd'hui, voilà le résultat : la maladie du dépareillement de cintres a fait son grand retour, les crochets n'en font qu'à leur tête et j'attribue plusieurs habits à un seul cintre. C'est la bérézina, quoi. Aucune discipline.
Mais pourquoi je vous parle de ça, moi ? Vous avez dû mourir d'ennui à la troisième mention du mot "cintre". Faut que j'arrête de le dire, d'ailleurs. J'essaie de battre un record du monde ou quoi ? Cintre, cintre, cintre. STOP !
Un coup on met le blouson, un coup on le met plus... On sait plus comment s'habiller avec ce temps !
Top : vintage (Périgueux)
Pantalon et veste : H&M (old)
Boots : Jessica Buurman
Sac : Betty x Lancaster