Aujourd'hui, pas beaucoup de mots (ça changera), juste des photos ! Avec un look BCBG rock'n'roll qui m'a fait sentir comme un ovni toute la journée dans les rues de Périgueux. En tout cas il y a quelque chose que je trouve génial, c'est le mélange du sweat casual et d'un bon gros collier bien voyant. Quant à ces mocassins léopard à clous... Ils sont tellement confortables que je checke régulièrement mes pieds, prise d'une sueur froide : "Han, je crois que je suis sortie en chaussons !" Mais en fait non. Let's go (and jump) !
Oh yeah ! Mon boyfriend photographe est revenu, et il s'est installé chez moi pour une durée indéterminée (et oui, une nouvelle étape de la vie), alors je vais pouvoir à nouveau vous proposer tout plein de looks ! Bon, j'ai quand même attendu le lendemain de son arrivée pour le harceler : "On fait un look ? On fait un look ???" Je vous le dis, la blogueuse est tyrannique.
Rentrée oblige, j'ai fait du shopping. (Genre, comme s'il me fallait des prétextes pour faire du shopping, maintenant.) Pas de long texte aujourd'hui, juste des petits bouts de mes dernières trouvailles. Avant que je puisse vous les montrer en action, dès le retour de mon photographe officiel (très bientôt, OUF !). Je suis frustrée, il y a tellement de vêtements chouettes et de looks que je voudrais vous présenter ! Il faudra donc se contenter de cet aperçu qui entretient le suspense (et qui révèle, accessoirement, ma passion pour les gros plans). Et comme je suis sympa, je vous mets les prix et même des liens, sait-on jamais, ça peut vous inciter à dépenser votre argent inspirer...
Etre dingue de mode dans une ville de 30 000 habitants, entourée de forêts, de champs et d'élevages d'oies, c'est... particulier. Je dois avouer que je me sens souvent en décalage avec la population locale dans mes choix vestimentaires. Je me demande souvent : "Puis-je vraiment sortir/aller travailler comme ça ?" Car parfois, je sens que je vais un peu loin sur l'échelle de la conception locale de la mode. Des exemples qui me font douter : la jupe tutu rose, le headband à grosses fleurs colorées, le short en jean taille haute, le cropped top, les mini-jupes, le gilet sans manches à fausse fourrure (oui, oui, même ça) et, pire, les TALONS HAUTS.
Il y a des jours, dans la vie, où la solitude frappe. C'est comme ça. On est blogueuse mode, et on a personne pour nous prendre en photo. Ou du moins, LA personne qui nous photographie habituellement, notre binôme, est absente. En l'occurrence, il s'agit de mon copain. Quelle surprise, pas vrai ? Je pense que c'est le cas de 99 % des blogueuses.
(On va faire comme si ni vous ni moi n'avions remarqué le jeu de mot bien pourri du titre. OK ?)
Après la virée féérique à Beynac-et-Cazenac, je vous propose une seconde excursion, toujours en Périgord noir, cette fois aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil ; ou Les Eyzies tout court pour les intimes. Oui, c'est une autre caractéristique de la Dordogne : ses noms de village improbables, à rallonge, complètement foufous et qu'on ne sait pas du tout comment écrire quand on les entend pour la première fois. Exemples : La Rochebeaucourt-et-Argentine, Champeaux-et-la-Chapelle-Pommiers, Saint-Barthélémy-de-Bellegarde, Creyssensac-et-Pissot ou encore Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert. Et des millions d'autres.