Il y a deux types de shopping. Le shopping ordinaire, qui consiste à entrer dans un magasin et à acheter un produit neuf avec une étiquette. Et le shopping-aux-merveilles. Celui qui consiste à fouiller ailleurs que dans des boutiques, à la recherche de trésors vestimentaires, sans idée précise de ce que l'on va trouver, mais avec la certitude qu'à tout moment, derrière cet infâme pull mité ou ce vieux jean détendu, se cache le trésor. La perle rare qui fera battre notre cœur. Et qu'on paiera seulement une poignée d'euros.
Le chic du chemisier léopard et du blazer, associés à la nonchalance du jean boyfriend. Une recette simple mais que j'adore.
Mais qu'est-ce qui m'a pris ? C'est la question que je me suis posée, hier, en retombant sur ces photos. Ce look, je l'ai composé il y a un petit moment déjà, c'était il y a trois semaines (oui parce que j'avoue, j'ai plein de looks en retard à vous poster). Non mais vraiment, qu'est-ce qui m'a pris ?
Ça y est, c'est le grand jour ! Le jour du premier concours que j'organise sur ce blog ! Le premier d'une longue série, j'espère. Il s'agit d'un beau concours en partenariat avec Les Papillons de Sophie, une créatrice de bandeaux pour les cheveux et de nœuds papillon, habitant Périgueux, dont je vous ai dressé le portrait hier. Je suis trop contente de vous proposer de gagner ses créations !
Aujourd'hui, ce n'est pas un article comme les autres. Vous le savez si vous me suivez, j'habite à Périgueux, en Dordogne. Et ici, des blogs mode, il n'y en a pas (enfin, je n'en ai pas trouvé mais si jamais vous êtes Périgourdin(e) et branché mode, faites-moi signe, qu'on se rencontre !). Périgueux est une petite ville charmante, mais pas très axée fashion. Pourtant, je suis convaincue qu'il y a du potentiel. On trouve de très belles boutiques, des coins de rue magnifiques qui constituent de parfaits décors pour des shootings (il n'y a qu'à regarder mon blog, haha). Aussi, j'aimerais réussir, à travers mon blog, à valoriser toutes les initiatives modesques que je pourrai trouver. Et ça commence par Sophie.
Par ce froid, on a envie de s'emmitoufler dans des trucs doudous avec de la fourrure (fausse, évidemment). Alors de temps en temps, pour alterner avec mes manteaux et donner un côté "wild" à ma tenue, je sors cette veste aux motifs ethniques. Elle est chaude et très confortable.
"Mais qu'est-ce qu'elle vient nous mettre son sapin de Noël sur son blog de mode ? vous insurgez-vous. On est là pour voir des looks, des habits, des chaussuuuures !" Oui et bien aujourd'hui, j'ai décidé de vous présenter un look de sapin, voilà. Le look de MON sapin. J'ai décrété que le sapin Mawa Jane, collection Christmas 2013, était minimaliste en guirlandes (une électrique et deux "normales") et très chargé en boules et ornements divers. Le tout dans une thématique de couleurs très classique : rouge et doré, avec des pointes de blanc. Il n'a rien d'extraordinaire, mais c'est mon sapin.
J'ai toujours un problème avec les écharpes. Je n'ai jamais trouvé THE écharpe parfaite. Il y a toujours un souci, vous ne trouvez pas ? [Ici, j'avais écrit une phrase stipulant que l'écharpe était toujours soit trop fine, soit trop grosse, soit trop longue, mais après j'ai réalisé en m’esclaffant que tout ça portait trop à confusion et je l'ai enlevée. Ah ben en fait non, du coup.]
C'est un look un peu spécial que je vous présente aujourd'hui. Un peu plus extravagant que ce que je porte d'habitude. Et plus sombre aussi, moi qui adore la couleur. Mais ce n'est par hasard. Il y a peu, j'ai été contactée par Matthieu, du site Fashionckick, un site féminin de shopping qui regroupe plein de marques tendance et permet de trouver la pièce de ses rêves grâce à un moteur de recherche. Bref, Matthieu m'a proposé de participer à un concours pour gagner, peut-être, mon ticket pour la Fashion Week d'Amsterdam, les 24 et 25 janvier prochains. Une Fashion Week. A Amsterdam. The dream, quoi. La condition ? Présenter dans un article la tenue que je porterais pour cette occasion.
Il y a des signes, dans la vie, qui nous font réaliser qu'on est devenu adulte. Vous me direz, à 26 ans, il est temps. Mais devenir adulte, ce n'est pas ce que l'on croit quand on est enfant ou adolescent. On n'y arrive pas d'un coup, d'un seul. Certes, on évolue au fil des ans, on vit des expériences qui nous transforment, mais il n'y a pas de déclic soudain. Pas d'interrupteur. On ne se réveille pas un beau matin en se disant : "Ça y est, je suis adulte."