Itinéraire d'une nulle en sport devenue sportive

10.1.16



Bonjour mes petites baskets pailletées,


Comme vous l'aurez remarqué, mon look du jour est un peu moche particulier. En effet, il s'agit d'une tenue de sport, brrrr ! Enfin, "brrrr", c'était avant. Car en 2015, il y a eu un changement important dans ma vie : je me suis mise au sport pour de vrai. Voilà un truc dont je suis fière. Depuis six mois, j'ai du mal à le croire moi-même, mais je suis devenue sportive. J'ai l'impression d'être une imposture en l'écrivant (tiens, je pourrais me donner ceci comme résolution 2016 : arrêter avec le sentiment d'imposture), et pourtant, les faits sont là : je fais du sport cinq jours sur sept, soit entre trois et quatre heures par semaine. J'ai même participé à ma première course à pied de 10 km, fin novembre. Connaissant mon passé sportif, c'est assez incroyable. Je voulais donc partager avec vous mon expérience, peut-être qu'elle vous inspirera pour cette nouvelle année. Oui oui, je sais bien que certaines parmi vous ont pris la résolution de se (re)mettre au sport ! Toi là, qui te trouves des excuses pour repousser ce moment fatidique, chaque jour qui passe. Je t'assure que tu peux y arriver, si j'ai pu le faire ! Et pour te convaincre, j'ai mis le paquet sur les gif.

Le sport, pour quoi faire ?



Ben oui, ça, pour quoi faire ? C'est fatigant, on transpire, on est rouge, et après on a les cheveux tout collés et qui puent. Non merci, je préfère largement bouquiner au propre dans mon canapé. Ça, c'est ce que j'ai longtemps pensé, moi, la nulle en sport, traumatisée par l'EPS au collège et lycée. Étais-je vraiment nulle ou était-ce juste une croyance due au fait que je n'étais pas populaire et que je n'avais pas confiance en moi ? Rien ne me plaisait, ni les sports collectifs de ballon (le cauchemar à son plus haut niveau), ni le lancer de javelot (0/20), ni l'athlétisme. Lors de mon dernier cours de sport en terminale, j'ai dansé de joie en criant que "plus jamais de ma vie je ne courrai sans raison". Hahaha, ma petite, si tu te voyais dix ans plus tard, toute heureuse de recevoir des baskets de running pour ton anniversaire et de les chausser deux fois par semaine...

Alors que s'est-il passé ? J'ai envie de répondre : le gras du bide. Il s'est passé le gras du bide. Et aussi le début de cellulite. Et l'essoufflement dans les quatre étages pour rendre visite à ton papy. Et ça, mine de rien, ce sont des super motivations pour te remettre au sport, car tu prends conscience que c'est maintenant qu'il faut s'entretenir, si tu veux bien vieillir et être en forme. Donc le sport, tout simplement, c'est pour être en bonne santé (sans blague) et avoir le contrôle de son corps. Et aussi pour tout le bien que ça fait à l'esprit et à la confiance en soi.

Oui mais comment s'y remettre ?



J'ai toujours été menue. Mais vers mes 16 ans, peut-être à cause de la pilule ou juste de l'ordre naturel des choses, j'ai pris du ventre. C'était bizarre : j'étais mince avec un gros bide qui amusait mes copines de lycée et qui m'a suffisamment préoccupée pour aller consulter le médecin. Il m'a suggéré, l'air un peu navré, de me mettre au sport. HAHAHA LOL NON MERCI. J'ai donc opté pour la vie en apnée (alias rentrer mon ventre tout le jour durant). Vers 20 ans, ce ventre m'énervait de plus en plus et je me suis donc résignée à me mettre aux abdos, toute seule chez moi. J'avais dégoté un livre magique, Ventre plat en un mois, que j'ai dégainé de temps en temps pendant plusieurs années quand mon bidou se ramollissait, comme des "cures" d'abdos. Je n'y prenais pas de plaisir, c'était plutôt une "obligation" que je m'imposais car je me sentais mal avec mon ventre gonflé. La méthode était très efficace, mais forcément, les résultats s'estompaient quand j'arrêtais tout.

J'ai eu aussi une phase de quelques mois, en 2010, durant laquelle je me suis mise à courir, avec mon copain de l'époque. Mais je ne courais pas très longtemps et je m'en suis vite lassée, je n'en retirais pas vraiment de plaisir, et il n'y avait aucune notion de performance. De plus, mes cuisses ont très vite pris du volume, ce qui m'a fait un peu peur. J'ai donc arrêté.

Puis, il y a près de trois ans, j'ai découvert grâce à un reportage télé Coach Club, des cours de sport en ligne, filmés, avec des coachs sympas, de multiples disciplines (body sculpt, urban dance, aerobic, abdos-fessiers, elastic fitness...) et une progression dans la difficulté. J'ai testé par curiosité, et pour la première fois, j'ai trouvé cela amusant et motivant de faire du sport, et j'y ai vu un intérêt de loisir, autre qu'une corvée. J'ai suivi Coach Club pendant deux ans, à raison d'une ou deux séances d'une heure par semaine en moyenne (avec des pauses plus ou moins longues), ce qui m'avait conduite au niveau perfectionné dans certaines disciplines. C'est vraiment une bonne formule pour se mettre au sport chez soi, sans stress. Et cela suffisait à m'entretenir a minima.

De la corvée au défi



J'ai fini par me lasser de Coach Club, surtout qu'en déménageant à la campagne, mon débit internet n'était plus suffisant et les vidéos ramaient. Je ne savais donc plus trop quoi faire. Et le temps passant, mon corps a commencé à ramollir un peu. Vous allez me dire : rien de grave, on s'en fout, d'ailleurs personne ne le remarque. Mais moi, je ne m'en fous pas. J'aime sentir que mon corps est musclé, que mes abdos et mes fesses sont fermes, je me sens bien mieux ainsi. C'est aussi une question de respect et d'amour par rapport à mon corps. Je veux en prendre soin.

Sur les réseaux sociaux et les blogs, je voyais partout des personnes qui pratiquaient le running et qui avaient l'air d'y prendre du plaisir. J'ai notamment découvert le blog d'Anne (Anne & Dubndidu), une ancienne non-sportive devenue accro à la course à pied. A force de lire ses articles, de voir ses photos de courses, ainsi que d'autres, mes pieds ont commencé à me démanger. Même si je gardais une image ennuyeuse de la course à pied, j'ai décidé de lui donner une nouvelle chance. Début juillet 2015, je suis allée m'acheter une paire de baskets et j'ai entraîné mon amoureux avec moi. On a couru quelques fois, et j'en bavais un peu, mais pas tant que le craignais. Il a été contraint d'arrêter au bout de quelques séances à cause de problèmes au genou, mais moi, j'ai continué, déterminée à explorer ce sport comme il fallait, pour me faire une vraie idée.

Seulement, j'avais beau courir, cela n'avait aucun impact sur mes abdos (toujours mon point sensible). J'ai compris que cette activité cardio seule ne suffisait pas, et qu'il fallait la coupler avec du renforcement musculaire si je voulais voir de vrais changements sur mon corps. A ce moment-là, on voyait fleurir partout sur la blogosphère et Instagram des challenges sportifs. Un a retenu mon attention : le Top Body Challenge (TBC) de Sonia Tlev. Pas trop cher (39 €), et une formule qui me paraissait jouable : 30 minutes d'exercices (en PDF), trois fois par semaine, pendant trois mois (on peut le trouver ici).


J'ai téléchargé le TBC sur mon portable et comme ça, j'ai accès aux exercices n'importe où : pratique !

Du défi au plaisir



J'ai fait des recherches, sur Insta et sur la blogo, et j'ai été bluffée par la rapidité des résultats... au point de me demander si certaines photos avant/après n'étaient pas truquées. Cela m'a beaucoup motivée. Mon objectif n'était aucunement de perdre du poids mais de voir si je pouvais transformer mon corps d'une façon plus harmonieuse, plus sportive (et avoir de vrais abdos !). Je me suis donc lancée en août dernier, et j'ai tenu jusqu'au bout. J'ai même enchaîné avec le TBC 2, dont je suis à la neuvième semaine. Et J'AIME CA. Oui, c'est étrange. Mais ce rituel sportif, trois matins par semaine, est devenu un plaisir, un rendez-vous avec moi-même, une façon de commencer la journée avec énergie et un état d'esprit positif.

Une séance de TBC : trois circuits de trois exercices. L'ensemble dure grosso modo trente minutes.

Je fais toujours mes séances au saut du lit, ce qui nécessite de faire sonner mon réveil plus tôt. Les séances durent parfois plus quarante minutes que trente. Elles ne sont pas toujours faciles. Parfois, je peine à faire les exercices, je fais de mini-pauses entre les répétitions, je m'encourage, j'insulte les exercices ("ah non, pas vous les jump lunges, je vous déteste, je vais mourir", et puis je le fais quand même). Au final, j'arrive toujours au bout de ma séance, je sens que tout mon corps a travaillé, je me sens fière de moi et pleine d'énergie. Oui oui, bien plus que lors des matins sans sport, où je me plante direct sous la douche tel un zombie. Quand c'est possible, je fais mes exercices dehors, dans le jardin, avec le soleil et le chant des oiseaux. Un bonheur.

Pour compléter ces séances de renforcement musculaire, je cours deux fois par semaine, généralement entre trente minutes et une heure. C'est plus dur certaines fois que d'autres, selon mon état général, ce que j'ai mangé, etc. Parfois j'ai l'impression de voler, parfois d'avoir du plomb dans les jambes. Quoiqu'il en soit, je suis motivée par l'envie de faire mieux, à chaque fois : aller plus vite, plus loin, plus longtemps. Pour ça, je mesure mes performances avec l'application Runkeeper. Au bout de deux mois, j'ai atteint les 10 km. J'étais tellement fière ! Depuis, je cours toujours cette distance, mais plus vite. Et je sais que je m'améliorerai encore, il suffit que j'en aie le désir. Courir me rend aussi plus positive et plus créative (il y a plein d'idées qui viennent en courant !).

Du plaisir à la confiance en soi




Tous ces clichés qu'on entend à propos des "valeurs du sport", du "dépassement de soi"... Et bien c'est vrai. Moi, faire la planche pendant deux minutes ? Soulever 6 kg 30 fois d'affilée ? Faire 100 squats ? Sauter à la corde pendant une minute sans m'arrêter ? Arriver à l'intersection avant les cinq minutes de course ? Faire deux minutes de putain de jump lunges ? Je n'y arriverai jamais ! Et pourtant... j'y arrive toujours. En en bavant un peu, ou à la séance d'après, ou la semaine d'après, ou le mois suivant. Parce que quand on veut, on peut. On progresse. Vite. Et réussir à accomplir quelque chose dont on se pensait incapable, je vous assure que pour donner confiance en soi, il n'y a pas mieux. Parce que si on parvient à progresser et à se dépasser dans le sport, pourquoi n'y arriverait-on pas dans les autres domaines ? On apprend à se dire que oui, quelque chose à l'air difficile, et pourtant, en notre for intérieur, on sait qu'on en est capable, pour peu qu'on s'en donne les moyens. On sait aussi que lorsqu'on a réussi quelque chose une fois, on peut le refaire, et ça nous donne confiance pour la fois suivante. Voilà ce que m'apprend le sport.



Le sport me donne aussi l'occasion de "dialoguer" avec mon corps, de lui accorder de l'attention, de l'écouter. Faire du sport, c'est faire la paire avec son corps. C'est lui dire "je t'aime". Au début, quand je courais, j'avais l'impression d'une lutte entre mon cerveau et mon corps. Mon corps voulait s'arrêter, mon cerveau le forçait à continuer. Maintenant, j'ai l'impression que les deux ne font qu'un. C'est juste moi, contre le reste. Une lutte entre moi et cette côte ardue, entre moi et ces autres coureurs, entre moi et cette longue ligne droite, entre moi et ces foutues jump lunges.

Et les résultats, dans tout ça ?



Oui, parce que j'imagine que ça vous intéresse quand même. A quoi bon toutes ces calories dépensées si ce n'est pas pour avoir un corps de canon ? Je ne suis pas du genre à exhiber mon nombril en mode avant/après sur Instagram, mais effectivement, mes abdos sont plus dessinés, mon ventre est plat, ma taille est affinée, mes jambes et mes bras un peu plus musclés. J'ai pris des fesses (à moi le boul de Kim Kardashian), mais en muscle. Et certains pantalons se refusent d'ailleurs à mon derrière désormais. Tant pis pour eux !

Je me sens aussi plus énergique. Quand j'ai commencé à courir, j'avais cette sensation bizarre après mes runs, d'avoir les poumons plus ouverts, de mieux respirer. Je ne le ressens plus aujourd'hui, sans doute parce que mon corps s'est habitué.

Ce que je retiens, c'est qu'il est à mon sens beaucoup plus facile de se tenir à une pratique sportive lorsque celle-ci est encadrée, structurée, même si c'est "virtuellement". Suivre un programme, c'est être sûr d'arriver à des résultats plus vite sans faire n'importe quoi. Bien sûr, l'inconvénient comparé à un vrai coach en chair et en os, c'est qu'il y a toujours le risque de mal faire les mouvements et de se blesser. Mais l'avantage, c'est qu'on peut le faire chez soi, sans le regard des autres, à son rythme et en vieux short tout pourri. C'est plus motivant et l'on n'a pas besoin de se questionner sur ce que l'on va faire : on suit le programme et on progresse tout naturellement. Je vous conseille de tester cette formule si vous avez déjà abandonné trois fois votre abonnement à la salle de sports. Les réseaux sociaux comme Instagram sont aussi une source d'inspiration et de motivation.

Voilà pour mon expérience de nulle-en-sport devenue sportive. Qu'est-ce que ça vous inspire ? Faites-vous du sport ? Ou cherchez-vous encore la motivation ? J'espère vous avoir donné l'envie d'enfiler vos baskets car pour ma part, je ne voudrais plus renoncer au sport. Merci beaucoup de m'avoir lue, et partagez votre expérience en commentaire !

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9 commentaires

  1. Génial cet article!

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    1. Mais ça doit être tellement plus agréable de faire ça à la campagne...

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    2. Oh merci ! J'avoue, je n'ai pas évoqué cette dimension de la campagne, enfin si, un peu, quand je parle de faire le sport à l'extérieur ! Ca c'est le pied, notamment les matins d'été... Bon là en ce moment c'est moins rigolo : il fait nuit et froid quand je me lève, donc je fais mes exercices dans le salon, volets fermés :-/
      Pour ce qui est de courir, c'est chouette à la campagne, sur des petites routes et des chemins. Parfois je croise des animaux (et des chasseurs...). Mais je n'ai jamais croisé un seul joggeur en six mois ! :D

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  2. Moi j'ai arrêté de courir depuis un an, mais je me rends compte que je gère moins bien le stress que je vis au quotidien au boulot depuis. J'ai décidé de m'y remettre en 2016 car j'ai vraiment la sensation d'avoir perdu quelque chose en arrêtant. Je préfère me dire que le sport m'aide à décompresser plutôt que d'y lier quelque chose en rapport avec le poids ou la silhouette. J'ai des kilos en trop mais j'ai décidé de m'accepter comme je suis! Et même si courir m'a aussi aidé à perdre du poids (j'en ai encore à perdre du coup tu l'auras compris) ma première motivation c'est vraiment de dégager toute la pression psy que je ressens quotidiennement. Voilà! C'est super que tu aies tenu tes objectifs, continue!
    ps: tu as quoi comme baskets du coup?? Ca m'intéresserait j'aimerais en acheter une nouvelle paire.

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    1. Tu as raison, c'est vrai que j'ai aussi l'impression que le sport m'aide à gérer mon stress. C'est une excellente raison dont je n'ai pas parlé ! A la fin d'un run, je me sens toujours plus détendue, et dans de meilleures dispositions, plus optimiste qu'au début. Et je trouve ça très bien que tu acceptes ton corps tel qu'il est, c'est le plus important. Courage en tout cas pour ta reprise cette année ! ;)
      Mes baskets sont des Asics mais pour être honnête je ne connais pas le modèle, je les ai reçues en cadeau et je n'ai pas fait attention à la boîte... Mais elles sont très bien ! Je précise que ce n'est pas celles que je porte sur ces photos, qui sont des Kalenji quasi premier prix, mes premières chaussures de running, de bien moins bonnes qualité.
      Bisous !

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  3. ah la la ce fameux bouquin ! je me souviens que tu m'en avais parlé ;) pareil que toi, je détestais le sport au collège, j'avais même réussi à m'en faire dispenser au lycée ! manque de confiance en moi, manque de popularité, j'étais toujours parmi les dernières qu'on choisissait dans l'équipe de ces maudits sports co ! ;) et puis pareil, j'ai arrêté tout exercice physique pendant deux ans alors que je me déplaçais auparavant en vélo. Résultat : 8 kg. Quand je dis ça, on me répète que ça n'a pas dû me faire de mal vu que je suis très mince et grande. Certes mais comme toi j ai tout pris au niveau du bide, du mal à monter les escaliers, où j'arrivais comme une obèse fumeuse au premier étage... Et puis, j'ai découvert la Zumba. Et là je suis devenue accro ! depuis je me suis mise à la danse, à la pole dance, remise à la natation. Résultat : je vais au sport quatre soirs par semaine plus quelques stages un à deux week-ends par mois ! Totalement addict ;) Merci pour tes articles, on se retrouve toujours dedans ;)

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  4. Ton article tombe à pic ! Je me suis remise au Nike Training Club après 6 mois de pause. Je suis pas la sportive la plus assidue du monde, mais ton article me donne envie de persévérer dans mon regain de motivation! Allez ce soir à moi les Mountain Climber et autre Froggers (Je dis ça comme ça, mais j'ai envie de pleurer hein!) !
    Bises!
    Margaux

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  5. C'est cool de lire un article comme ça :) Moi aussi je suis passée par le TBC (et j'ai même fini le 2 il y a 6 mois. Du coup la ça fait un an que je me suis remise au sport aha, et ça y est on peut dire que je suis une sportive (j'allais mettre des guillemets car comme toi je trouve ça un peu bizarre venant de moi aha
    Ça peut paraître bête mais je suis contente quand je vois que d'autres filles ont elles aussi adopté le sport comme moi hihi
    Bisous, Axelle

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  6. Fan du TBC moi aussi ! J'ai commencé au mois de juillet dernier et depuis je n'ai plus arrêté. Adepte du running depuis longtemps je constatais que malheureusement cette activité n'empêchait pas le ventre de se ramollir. Depuis mon corps a changé, les muscles sont plus apparents et je me sens en meilleure forme. Cerise sur le gâteau, grâce au renforcement musculaire mes performances en running se sont améliorées et je m'apprête à courir mon deuxième semi-marathon. J'utilise aussi Run Keeper ! Bonne soirée !

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